Retrouvez
tous les jours dans cette rubrique " Ma Mère l’Église" l'histoire de
l’Église catholique et sa hiérarchie, ses fondements historico-théologiques,
les principaux rites, sacrements, traditions et pratiques... Cultivons-nous sur
notre foi pour guérir des maux de notre foi!
« J’avais seize ans quand mes études sont interrompues. On m’avait
rappelé de Madaure, cette ville voisine où j’avais fait mon premier
séjour hors de chez moi pour me former aux lettres et à l’art oratoire. (Conf.II, 3, 5)
’’Alors les ronces de la sensualité s’élevèrent au-dessus de ma tête et il n’y avait aucune main pour les arracher. (Conf. II, 3,6)
« Une année plus tard, grâce à un ami de la famille, je peux aller à Carthage pour faire mes études. Au jeune homme pauvre que j’étais, venu pour ses études dans une ville étrangère, il m’a donné une place dans sa maison, à ses propres frais et plus encore dans son cœur. Lorsque je perdis mon père il me consola de son amitié, m’encouragea de ses conseils et m’aida de sa fortune. (Cont.Acad. II, 3,3).
« Je n’aimais pas encore et j’aimais à aimer ; et par mon indigence plus profonde, je me haïssais d’être moins indigent. Je cherchais sur quoi porter mon amour. (Conf. III, 1, 1)
« J’étais ravi par le théâtre et ses spectacles remplis des images de notre misère.
« Aimer et être aimé, c’était plus doux pour moi... et j’en vins à me ruer dans l’amour où je désirais me prendre. Je me suis uni à une femme et j’ai vécu avec elle, tout heureux, près de 16 ans. Et j’ai eu avec elle un enfant : Adéodat. Malheureusement, il est décédé quand il avait 16 ans. (Conf. IV, 2, 2)
« J’étudiais les traités d’éloquence... Le livre de Cicéron changea mes sentiments en m’orientant vers le Seigneur... Mais une seule chose venait briser mon élan : le nom de Jésus n’était pas là. Ce nom de Sauveur, déjà dans le lait maternel même de ma mère, mon cœur d’enfant l’avait pieusement bu et je le gardais au fond de mon âme. (Conf. III, 4, 8).
Cela me fit décider d’appliquer mon esprit aux Saintes Ecritures et de voir ce qu’elles étaient. Elles étaient faites pour grandir avec les petits mais dédaigneusement, je refusais d’être petit. Et gonflé de morgue, je me voyais grand.
’’Alors les ronces de la sensualité s’élevèrent au-dessus de ma tête et il n’y avait aucune main pour les arracher. (Conf. II, 3,6)
« Une année plus tard, grâce à un ami de la famille, je peux aller à Carthage pour faire mes études. Au jeune homme pauvre que j’étais, venu pour ses études dans une ville étrangère, il m’a donné une place dans sa maison, à ses propres frais et plus encore dans son cœur. Lorsque je perdis mon père il me consola de son amitié, m’encouragea de ses conseils et m’aida de sa fortune. (Cont.Acad. II, 3,3).
« Je n’aimais pas encore et j’aimais à aimer ; et par mon indigence plus profonde, je me haïssais d’être moins indigent. Je cherchais sur quoi porter mon amour. (Conf. III, 1, 1)
« J’étais ravi par le théâtre et ses spectacles remplis des images de notre misère.
« Aimer et être aimé, c’était plus doux pour moi... et j’en vins à me ruer dans l’amour où je désirais me prendre. Je me suis uni à une femme et j’ai vécu avec elle, tout heureux, près de 16 ans. Et j’ai eu avec elle un enfant : Adéodat. Malheureusement, il est décédé quand il avait 16 ans. (Conf. IV, 2, 2)
« J’étudiais les traités d’éloquence... Le livre de Cicéron changea mes sentiments en m’orientant vers le Seigneur... Mais une seule chose venait briser mon élan : le nom de Jésus n’était pas là. Ce nom de Sauveur, déjà dans le lait maternel même de ma mère, mon cœur d’enfant l’avait pieusement bu et je le gardais au fond de mon âme. (Conf. III, 4, 8).
Cela me fit décider d’appliquer mon esprit aux Saintes Ecritures et de voir ce qu’elles étaient. Elles étaient faites pour grandir avec les petits mais dédaigneusement, je refusais d’être petit. Et gonflé de morgue, je me voyais grand.
Source:
Le Catholicisme pour les Nuls
Réalisation: Les Maux de ma foi
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