Retrouvez
tous les jours dans cette rubrique " Ma Mère l’Église" l'histoire de
l’Église catholique et sa hiérarchie, ses fondements historico-théologiques,
les principaux rites, sacrements, traditions et pratiques... Cultivons-nous sur
notre foi pour guérir des maux de notre foi!
Saint Augustin écrit...C’est pourquoi je suis tombé aux mains des Manichéens, hommes délirants de superbe.
Pendant près de neuf ans, je méprisais la religion que mes parents avaient implantée en moi dès mon enfance pour suivre ces hommes en disciple. « Une fois mes études finies à Carthage, je suis rentré dans la maison de mes parents mais ma mère a refusé de vivre avec moi et d’avoir table commune, dans son aversion et son horreur pour les blasphèmes où me jetait mon horreur. (Conf. III, 11)
En ces années-là, dans les tous premiers temps de mon enseignement dans la ville où je suis né, je m’étais fait un ami. Nous avions grandi ensemble... Il est tombé malade... Durant mon absence, il est repris par la fièvre et meurt. Cette douleur enténébra mon cœur et partout je ne voyais que la mort...’’ (Conf. IV, 4)
« Et pourtant il n’était pas encore l’ami tel que le veut la véritable amitié. Car il n’y a pas de véritable amitié, si le Seigneur ne la cimente entre des êtres qui sont unis entre eux grâce à ’’la charité répandue dans nos cœurs par l’Esprit-Saint qui nous a été donné ’’. (Conf. IV, 4, 7)
« Vers Toi Seigneur, il fallait soulever mon âme pour la guérir. Je le savais mais ne voulais ni ne pouvais, d’autant plus que pour moi tu n’étais pas quelque chose de consistant et de ferme, quand je me faisais une idée de Toi. Car ce n’était pas Toi, Seigneur, mais un fantôme vain et mon erreur était mon Dieu. (Conf. IV, 7, 12)"
Source: Le Catholicisme pour les Nuls
Pendant près de neuf ans, je méprisais la religion que mes parents avaient implantée en moi dès mon enfance pour suivre ces hommes en disciple. « Une fois mes études finies à Carthage, je suis rentré dans la maison de mes parents mais ma mère a refusé de vivre avec moi et d’avoir table commune, dans son aversion et son horreur pour les blasphèmes où me jetait mon horreur. (Conf. III, 11)
En ces années-là, dans les tous premiers temps de mon enseignement dans la ville où je suis né, je m’étais fait un ami. Nous avions grandi ensemble... Il est tombé malade... Durant mon absence, il est repris par la fièvre et meurt. Cette douleur enténébra mon cœur et partout je ne voyais que la mort...’’ (Conf. IV, 4)
« Et pourtant il n’était pas encore l’ami tel que le veut la véritable amitié. Car il n’y a pas de véritable amitié, si le Seigneur ne la cimente entre des êtres qui sont unis entre eux grâce à ’’la charité répandue dans nos cœurs par l’Esprit-Saint qui nous a été donné ’’. (Conf. IV, 4, 7)
« Vers Toi Seigneur, il fallait soulever mon âme pour la guérir. Je le savais mais ne voulais ni ne pouvais, d’autant plus que pour moi tu n’étais pas quelque chose de consistant et de ferme, quand je me faisais une idée de Toi. Car ce n’était pas Toi, Seigneur, mais un fantôme vain et mon erreur était mon Dieu. (Conf. IV, 7, 12)"
Source: Le Catholicisme pour les Nuls
Réalisation: Les Maux de ma foi
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