Retrouvez
tous les jours dans cette rubrique " Ma Mère l’Église" l'histoire de
l’Église catholique et sa hiérarchie, ses fondements historico-théologiques,
les principaux rites, sacrements, traditions et pratiques... Cultivons-nous sur
notre foi pour guérir des maux de notre foi!
Saint Augustin écrit:
" « Et je me suis décidé d’aller à Rome et à enseigner là-bas de préférence ce que j’ai enseigné à Carthage. (Conf. V, 8, 14)
« Et puis en fait surgit en moi aussi la pensée qu’ils ont été plus
prudents que les autres, les philosophes appelés Académiciens en
estimant qu’il faut douter de tout, et en décrétant que l’homme ne peut
rien saisir du vrai’’... (Conf. V, 10, 19)
Alors, je décidais qu’il fallait abandonner du moins les Manichéens (Conf.V, 14, 25)
« Et je vins à Milan, chez l’Evêque Ambroise : c’était un des hommes les plus éminents d’après la notoriété universelle... Et je me pris à l’aimer voyant d’abord en lui, non sans doute, le docteur d’une vérité que je n’attendais plus du tout de l’Eglise, mais un homme bienveillant envers moi. Et j’étais empressé à l’écouter dans ses explications au peuple, non que j’eusse l’intention que j’aurais dû avoir mais je sondais pour ainsi dire son éloquence, pour voir si elle était au niveau de sa renommée. (Conf. V, 13, 23).
« Et le Seigneur a frappé sans cesse la faiblesse de mon regard par la violence de ses rayons sur moi et j’ai tremblé d’horreur... Et j’ai entendu sa voix, comme on entend dans le cœur et il n’y avait absolument pas à douter. J’aurais plus facilement douté de ma vie que de l’existence de Dieu. (Conf. VII, 10, 16).
« Je retardais ma conversion vers le Seigneur, je différais de jour en jour de vivre dans le Seigneur et je ne différais pas de mourir à moi-même. Aimant la vie heureuse, je redoutais de la trouver où elle réside et c’est en fuyant loin d’elle que je la cherchais. (Conf. VI, 11, 20)
« Et l’on insistait sans se lasser pour me faire prendre une épouse. Déjà je faisais ma demande, déjà j’obtenais une promesse, grâce surtout aux efforts de ma mère ; elle espérait par là qu’une fois marié, je recevrais le baptême. Elle se réjouissait de m’y trouver chaque jour mieux disposé et voyait ses voeux et tes promesses s’accomplir pleinement dans ma foi. (Conf. VI, 13, 23). « _ Et je cherchais la voie, pour acquérir la vigueur qui me rendrait capable de jouir de Dieu. Je ne la trouvais pas tant que je n’avais pas embrassé le Médiateur entre Dieu et les hommes, l’Homme Jésus-Christ, qui est au-dessus de tout. Il appelle et Il dit :’’ Je suis la voie, la vérité, la vie’’. C’est que je n’étais pas assez humble, pour posséder Dieu, l’humble Jésus et je ne savais pas quel enseignement donne sa faiblesse. (Conf. VII, 18, 24) "
Source: Le Catholicisme pour les Nuls
Alors, je décidais qu’il fallait abandonner du moins les Manichéens (Conf.V, 14, 25)
« Et je vins à Milan, chez l’Evêque Ambroise : c’était un des hommes les plus éminents d’après la notoriété universelle... Et je me pris à l’aimer voyant d’abord en lui, non sans doute, le docteur d’une vérité que je n’attendais plus du tout de l’Eglise, mais un homme bienveillant envers moi. Et j’étais empressé à l’écouter dans ses explications au peuple, non que j’eusse l’intention que j’aurais dû avoir mais je sondais pour ainsi dire son éloquence, pour voir si elle était au niveau de sa renommée. (Conf. V, 13, 23).
« Et le Seigneur a frappé sans cesse la faiblesse de mon regard par la violence de ses rayons sur moi et j’ai tremblé d’horreur... Et j’ai entendu sa voix, comme on entend dans le cœur et il n’y avait absolument pas à douter. J’aurais plus facilement douté de ma vie que de l’existence de Dieu. (Conf. VII, 10, 16).
« Je retardais ma conversion vers le Seigneur, je différais de jour en jour de vivre dans le Seigneur et je ne différais pas de mourir à moi-même. Aimant la vie heureuse, je redoutais de la trouver où elle réside et c’est en fuyant loin d’elle que je la cherchais. (Conf. VI, 11, 20)
« Et l’on insistait sans se lasser pour me faire prendre une épouse. Déjà je faisais ma demande, déjà j’obtenais une promesse, grâce surtout aux efforts de ma mère ; elle espérait par là qu’une fois marié, je recevrais le baptême. Elle se réjouissait de m’y trouver chaque jour mieux disposé et voyait ses voeux et tes promesses s’accomplir pleinement dans ma foi. (Conf. VI, 13, 23). « _ Et je cherchais la voie, pour acquérir la vigueur qui me rendrait capable de jouir de Dieu. Je ne la trouvais pas tant que je n’avais pas embrassé le Médiateur entre Dieu et les hommes, l’Homme Jésus-Christ, qui est au-dessus de tout. Il appelle et Il dit :’’ Je suis la voie, la vérité, la vie’’. C’est que je n’étais pas assez humble, pour posséder Dieu, l’humble Jésus et je ne savais pas quel enseignement donne sa faiblesse. (Conf. VII, 18, 24) "
Source: Le Catholicisme pour les Nuls
Réalisation: Les Maux de ma foi
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