Lundi 02 Novembre 2015
Retrouvez
tous les jours dans cette rubrique " Ma Mère l’Église" l'histoire de
l’Église catholique et sa hiérarchie, ses fondements historico-théologiques,
les principaux rites, sacrements, traditions et pratiques... Cultivons-nous sur
notre foi pour guérir des maux de notre foi!
Le terme « apocryphe » demande une
clarification. Car les textes que les protestants considèrent comme « apocryphes »
sont les textes, ces 7 livres d’ajouts tardifs de la Septante, que l’Eglise
appelle « deutérocanoniques ». Le mot « apocryphe »
signifie lui-même, « caché » et vient du grec « apokryphos ».
Dans cette perspective, l’Eglise applique plus rigoureusement ce mot à d’autres
textes qualifiés de « pseudé-pigraphies ». Ce qui signifie « fausses
écritures »). Ces textes que l’Eglise n’a jamais considérés comme inspirés
pour plusieurs critères de discernement, dont, en l’occurrence, la fictive
attribution de noms d’Apôtres ou de la Vierge, n’ont jamais fait partie d’aucune
Bible, qu’elle soit catholique ou protestante. Parmi ces livres dits apocryphes
figurent l’Assomption de Moïse, l’Evangile de Thomas, l’Evangile de
Marie-Madeleine… La plupart sont des livres d’origine gnostique prônant une
connaissance secrète à laquelle le Christ initierait seuls ses préférés parmi
les Apôtres. Archi-faux !
Source: Le Catholicisme pour les Nuls
Réalisation: Les Maux de ma foi
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