En ce mois de novembre, nous vous invitons à prier pour les
défunts et les âmes du purgatoire. Pour cela, nous vous proposons le
témoignage de Padre Pio et les âmes du purgatoire.
Apparitions d'âmes du Purgatoire dans la vie de Padre Pio
1ère apparition d'âmes du purgatoire au Padre Pio
Quatre capucins morts silencieux devant la cheminée
Padre Pio fit ce récit aux "fratini" (jeunes garçons éduqués
par les capucins), un soir de février 1922, à san giovanni
rotondo :
" Maintenant, écoutez ce qui m'est arrivé.
Voici quelques jours : Descendu un soir près du feu (le foyer
de la communauté) pour m'y réchauffer, j'eus la surprise
d'y trouver quatre religieux que je n'avais jamais vus, assis à
coté de la cheminée, avec le capuchons baissé, et
silencieux. je leur adresse le salut habituel : " loué soit jésus-christ"
; aucun ne me répondent. Etonné, je les regarde attentivement
pour savoir qui ils sont, mais je ne les reconnais pas. Je reste debout
quelques minutes, tout en les observant, et ils me paraissent souffrir. Je les salue de nouveau sans obtenir de réponse.
"J'allai alors demander si des confrères de passages étaient là. Le père supérieur me répondit: "Padre Pio, qui monterait jusqu'ici par ce mauvais temps ?
-Père gardien, en bas, auprès de notre feu, il y a quatre capucins assis sur les bancs, avec leurs capuchons baissés, et qui se chauffent. Je les ai salués, mais ils n'ont pas répondu. je les ai regardés attentivement et n'en ai reconnu aucun. Je ne sais pas qui ils sont. Le père gardien s'écria : " Serait-il possible que des frères de passage soient arrivés sans que je le sache ? Allons voir. Mais auprès du feu nous ne trouvâmes personne. Je compris alors qu'il devait s'agir de quatre religieux défunts qui subissaient leur purgatoire en ce lieu oú ils avaient offensé le Seigneur. Je suis alors resté toute la nuit en prières devant le Saint - Sacrement pour leur délivrance."
"J'allai alors demander si des confrères de passages étaient là. Le père supérieur me répondit: "Padre Pio, qui monterait jusqu'ici par ce mauvais temps ?
-Père gardien, en bas, auprès de notre feu, il y a quatre capucins assis sur les bancs, avec leurs capuchons baissés, et qui se chauffent. Je les ai salués, mais ils n'ont pas répondu. je les ai regardés attentivement et n'en ai reconnu aucun. Je ne sais pas qui ils sont. Le père gardien s'écria : " Serait-il possible que des frères de passage soient arrivés sans que je le sache ? Allons voir. Mais auprès du feu nous ne trouvâmes personne. Je compris alors qu'il devait s'agir de quatre religieux défunts qui subissaient leur purgatoire en ce lieu oú ils avaient offensé le Seigneur. Je suis alors resté toute la nuit en prières devant le Saint - Sacrement pour leur délivrance."
2ème apparition d'âmes du purgatoire au Padre Pio
Le mendiant brûlé vif par sa cigarette pendant son sommeil.
Padre Pio fit cet autre récit à Mgr Costa, évêque
de Melfi, un après-midi de mai 1922 : " Nous étions
en pleine guerre mondiale. Le couvent de San Giovanni Rotondo - comme tous
ceux de la Province Monastique - était dépeuplé, tous
les religieux ayant été appelés sous les drapeaux;
le Collège séraphique occupait le couvent, dirigé
par Padre Paolino da Casacalenda et par moi-même.
Par un après-midi d'hiver, Assunta di Tommaso, soeur de Padre
Paolino, arriva au couvent. Elle venait voir son frère pour quelques
jours. Il avait neigé abondamment. Aussi, avant la tombée
de la nuit, le religieux conseilla- t-il à sa soeur de redescendre
au village et d'aller loger chez Rachelina Russo, bienfaitrice du couvent.
Assunta refusa de partir seule : retourner au village à travers
cette neige, c'était courir le risque d'être mise en pièces
par quelques loups errants et affamés, d'être agressée
par un malandrin. Padre Paolino lui rappela alors : " Mais, Assunta, tu
sais que le couvent est soumis à la clôture, et que les femmes
ne peuvent y entrer. Que faire ?
- Fais- moi apporter une couchette dans cette pièce et, pour cette nuit, je m'en contenterai. Demain, j'irai chez Rachelina
- Fais- moi apporter une couchette dans cette pièce et, pour cette nuit, je m'en contenterai. Demain, j'irai chez Rachelina
- Bon, si tu t'accommodes de passer la nuit
ici dans le parloir , je vais te faire préparer un lit, et tu pourras
te reposer tranquillement."
Il demanda à quelques « fratini » d'installer
un lit de camp et d'allumer du feu dans la cheminée pour réchauffer
la pièce. Après le dîner, après avoir
installé les garçons au dortoir, Padre Paolino dit
à sa soeur : « je vais réciter le chapelet à
l'église. Tu n'as qu'à bavarder avec Padre Pio. »
- " Non, j'y vais aussi."
En sortant, ils fermèrent la porte et je restai seul auprès de la cheminée . J'étais en train de prier, les yeux mi-clos, quand la porte s'ouvrit. Je vis alors un vieillard enveloppé dans un manteau, semblable à ceux que portaient les paysans de San Giovanni Rotondo. Il vint s'asseoir près de moi. Je le regardai, mais sans me demander comment il avait pu entrer dans le couvent à cette heure.
"Qui es tu, que veux tu ? lui dis-je.
- Padre Pio, je suis Pietro Di Mauro, fils de feu Nicolas, surnommé Precoco. Puis il ajouta : Je suis mort dans ce couvent, le 18 septembre 1908, dans la cellule n°4, quand il y avait encore ici un asile pour les mendiants. Un soir, sur mon lit, je me suis endormi en fumant une cigarette encore allumée. Elle a mis le feu à la paillasse, je suis mort asphyxié et brûlé. Je suis encore en purgatoire. J'ai besoin d'une sainte messe pour être délivré. Le seigneur m'a permis de venir vous demander votre aide.
Sois tranquille, lui dis-je, demain je célèbrerai ma messe pour ta délivrance." Je me levai et l'accompagnai jusqu'au portail du couvent pour le faire sortir. A ce moment, je me rendis compte que ce portail était fermé et barricadé. Je l'ouvris et renvoyai le vieillard. La lune éclairait comme en plein jour la place recouverte de neige. Quand je ne le vis plus devant moi, saisi de crainte, je refermai le portail, revins dans le parloir et me sentis défaillir.
Padre Paolino et sa soeur revinrent après avoir dit le chapelet. En me voyant blême, décoloré, ils crurent à un malaise. Après avoir souhaité une bonne nuit à Assuna, Padre Paolino m'accompagna à ma cellule. Mais je ne soufflai mot de l'apparition du défunt.
"Quelques jours après le départ d'Assunta, Padre Paolino voulut savoir ce qui m'était arrivé le soir ou je m'étais senti mal. Je lui avouai jusqu'aux moindres détails de cette apparition d'outre-tombe, et j'ajoutai : " Ce soir là , je ne pouvais pas dire en présence de ta soeur qu'un défunt m'était apparu, car elle n'aurait pas voulu dormir dans cette pièce"
- " Non, j'y vais aussi."
En sortant, ils fermèrent la porte et je restai seul auprès de la cheminée . J'étais en train de prier, les yeux mi-clos, quand la porte s'ouvrit. Je vis alors un vieillard enveloppé dans un manteau, semblable à ceux que portaient les paysans de San Giovanni Rotondo. Il vint s'asseoir près de moi. Je le regardai, mais sans me demander comment il avait pu entrer dans le couvent à cette heure.
"Qui es tu, que veux tu ? lui dis-je.
- Padre Pio, je suis Pietro Di Mauro, fils de feu Nicolas, surnommé Precoco. Puis il ajouta : Je suis mort dans ce couvent, le 18 septembre 1908, dans la cellule n°4, quand il y avait encore ici un asile pour les mendiants. Un soir, sur mon lit, je me suis endormi en fumant une cigarette encore allumée. Elle a mis le feu à la paillasse, je suis mort asphyxié et brûlé. Je suis encore en purgatoire. J'ai besoin d'une sainte messe pour être délivré. Le seigneur m'a permis de venir vous demander votre aide.
Sois tranquille, lui dis-je, demain je célèbrerai ma messe pour ta délivrance." Je me levai et l'accompagnai jusqu'au portail du couvent pour le faire sortir. A ce moment, je me rendis compte que ce portail était fermé et barricadé. Je l'ouvris et renvoyai le vieillard. La lune éclairait comme en plein jour la place recouverte de neige. Quand je ne le vis plus devant moi, saisi de crainte, je refermai le portail, revins dans le parloir et me sentis défaillir.
Padre Paolino et sa soeur revinrent après avoir dit le chapelet. En me voyant blême, décoloré, ils crurent à un malaise. Après avoir souhaité une bonne nuit à Assuna, Padre Paolino m'accompagna à ma cellule. Mais je ne soufflai mot de l'apparition du défunt.
"Quelques jours après le départ d'Assunta, Padre Paolino voulut savoir ce qui m'était arrivé le soir ou je m'étais senti mal. Je lui avouai jusqu'aux moindres détails de cette apparition d'outre-tombe, et j'ajoutai : " Ce soir là , je ne pouvais pas dire en présence de ta soeur qu'un défunt m'était apparu, car elle n'aurait pas voulu dormir dans cette pièce"
Padre Paolino voulu vérifier ce qui concernait ce mendiant. Après
avoir tout noté, il se rendit au bureau de l'état civil de la commune, et il eut confirmation de
tout ce que Padre Pio lui avait raconté.
3ème apparition d'âmes du purgatoire au Padre Pio
Apparition d'un novice dans le choeur de l'église
Un autre récit de Padre Pio rapporte l'apparition d'un novice. Il priait un soir dans le choeur quand il fut intrigué par un
remue-ménage autour de l'autel. Croyant que quelqu'un était
entré dans l'église avec de mauvaises intentions, il demanda
: "Qui est-là ?" Pas de réponse. Le père se remit
en prières, supposant que c'était le vent, mais le bruit
se fit à nouveau entendre. Padre Pio s'approcha alors de la grille
du chœur, regarda le maitre-autel et aperçut la silhouette d'un
jeune novice en train de faire du nettoyage. Il lui dit : "Que fais-tu
là-bas ? --- Je suis en train de nettoyer.---. Mais comment peux-tu
faire
cela dans l'obscurité ?" Et le novice répondit : "Je suis un novice capucin qui fait ici son purgatoire. J'ai besoin de
secours." Puis il disparut. Le lendemain,
Padre Pio vint à son aide en célébrant la messe pour
lui.
Comment les âmes du purgatoire peuvent-il être dellivrer?
RépondreSupprimerBonsoir père.
RépondreSupprimerj'aimerai savoir comment reconnaitre un faux commentaire d'un vrai