Retrouvez
tous les jours dans cette rubrique " Ma Mère l’Église" l'histoire de
l’Église catholique et sa hiérarchie, ses fondements historico-théologiques,
les principaux rites, sacrements, traditions et pratiques... Cultivons-nous sur
notre foi pour guérir des maux de notre foi!
Saint Augustin écrit:
« Je me saisis donc avec la plus grande avidité, des œuvres
vénérables de la Sainte Ecriture et avant tout autre de celles de
l’Apôtre Paul. (Conf. VII, 21, 27)
« Et j’y ai entendu l’appel du Seigneur : ’’Venez à moi vous qui peinez
car je suis doux et humble de cœur’’. Ces choses me pénétraient
jusqu’aux entrailles d’une manière surprenante, pendant que je lisais St
Paul. (Conf. VII, 21, 27)
« Les paroles du Seigneur s’étaient fixées dans mes entrailles. J’étais
certain de la vie éternelle. Tous mes doutes avaient été emportés mais
du côté de la vie temporelle, tout branlait, il fallait purifier le
cœur : attirante était la voie, le Christ lui-même. Mais passer par ses
étroits défilés était encore rebutant. (Conf. VIII, 1-1)
« Et je disais en moi-même, intérieurement : ’’ C’est le moment, tout de suite, oui. Et sur ce mot, j’allais me décider à le faire. Déjà presque je le faisais, et non, je ne le faisais pas. (Conf. VIII, 11, 25) « Et le Seigneur me criait : ’’ En toi-même, pourquoi te tiens-tu et ne te tiens-tu pas ? Jette-toi en moi sans aucune crainte. Je ne vais pas me dérober pour que tu tombes. Jette-toi, rassuré, je te recevrai et te guérirai.’’ (Conf. VIII, 11, 27)

« Il y avait un petit jardin à notre domicile.
C’est là que m’avait emporté le tumulte de mon cœur.
J’étais avec Alypius qui me suivait pas à pas.
Les larmes jaillirent à grands flots de mes yeux.
Et voici que j’entendis une voix, venant d’une maison voisine, on disait en chantant et l’on répétait fréquemment avec une voix comme celle d’un garçon ou d’une fille : ’’Prends, lis, prends, lis’’.
Je saisis le livre de Saint Paul, l’ouvris et lus en silence le premier chapitre où se jetèrent mes yeux : ’’Non pas de ripailles, ni de saoûleries, non pas d’impudicités, non pas de disputes et de jalousies ; mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ’’ (Col. 3, 1-5) (Conf. VIII, 12, 29)
« Et je disais en moi-même, intérieurement : ’’ C’est le moment, tout de suite, oui. Et sur ce mot, j’allais me décider à le faire. Déjà presque je le faisais, et non, je ne le faisais pas. (Conf. VIII, 11, 25) « Et le Seigneur me criait : ’’ En toi-même, pourquoi te tiens-tu et ne te tiens-tu pas ? Jette-toi en moi sans aucune crainte. Je ne vais pas me dérober pour que tu tombes. Jette-toi, rassuré, je te recevrai et te guérirai.’’ (Conf. VIII, 11, 27)

« Il y avait un petit jardin à notre domicile.
C’est là que m’avait emporté le tumulte de mon cœur.
J’étais avec Alypius qui me suivait pas à pas.
Les larmes jaillirent à grands flots de mes yeux.
Et voici que j’entendis une voix, venant d’une maison voisine, on disait en chantant et l’on répétait fréquemment avec une voix comme celle d’un garçon ou d’une fille : ’’Prends, lis, prends, lis’’.
Je saisis le livre de Saint Paul, l’ouvris et lus en silence le premier chapitre où se jetèrent mes yeux : ’’Non pas de ripailles, ni de saoûleries, non pas d’impudicités, non pas de disputes et de jalousies ; mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ’’ (Col. 3, 1-5) (Conf. VIII, 12, 29)
Source: Les Maux de ma Foi
Réalisation: Les Maux de ma Foi
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