Bonne nouvelle!Enfin, notre site internet. Visitez-le au lien http://www.foiculture.archidiocesecotonou.org/. Suivez la Huitième édition de Les Maux de ma foi sur le Thème: les vertus au service de l'éducation: où en sommes-nous aujourd'hui? ce samedi 30 Avril 2016 à 16h 30 sur les ondes de la radio Immaculée Conception. Visitez la rubrique "Un prêtre vous écoute" pour découvrir les riches enseignements apportés à quelques préoccupations parvenues à nos Pères SUR Pâques et sur d'autres sujets divers.Prochaine compétition de Amusons-nous ce lundi 02 Mai 2016. Le BLOG vous fait ses excuses pour les ratés liés à des problèmes de connexion qui surviendront de temps à autre. Merci!

Ma Mère l'Eglise/ Les quatre docteurs latins

La vie de saint Ambroise de Milan

Ambroise naquit vers 340, d’une race illustre et chrétienne, probablement à Trèves, où son père était préfet du prétoire pour les Gaules. Une sœur, Marcelline, et un frère, Satyre, l’avaient précédé.
Après la mort prématurée de son père, conduit à Rome par sa pieuse mère, il y reçut une forte culture littéraire et juridique ; en 374, ses rares talents le firent désigner à Valentinien Ier pour le gouvernement de l’Emilie et de la Ligurie dont Milan était la capitale. L’évêque légitime de Milan, saint Denis, était mort en exil, et l’intrus arien Auxence, qui venait de mourir, avait, durant près de vingt ans, opprimé les catholiques. Survenant, comme un pacificateur, dans une élection épiscopale que des divergences tumultueuses rendaient difficile, Ambroise, quoique simple catéchumène, fut acclamé évêque et, malgré ses résistances, ne put se dérober à une charge aussi lourde qu’imprévue. Devenu chrétien et évêque, il s’initia par une étude incessante et approfondie à la doctrine qu’il avait mission d’enseigner, se dépouilla au profit des pauvres de son riche patrimoine, racheta les captifs en vendant les vases de son église, et se fit l’homme de tous. Son éloquence captivait la foule, attira Augustin et dissipa les derniers doutes du futur évêque d’Hippone. S. Augustin, Confession., l. V, c. XIII ; l. VI, c. III, IV ; De utilitate credendi, c. VIII, P. L., t. XXXII, col. 717, 720, 721, 722 ; t. XLII, col. 79. 
 

Réalisation: Les Maux de ma foi

Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire

Enseignement de la semaine

compteur de visites html